La lutte finale…

Entre le Ier et le IVe siècle c’est la coexistence des deux types de livres – le volumen et le codex – et des deux matières – le papyrus et le parchemin -.

Très vite le codex tend à s’implanter dans tout le monde méditerranéen, peut-être d’abord dans la partie latine de l’empire. Les chrétiens, dès le début, et surtout à partir de l’empereur Constantin (qui commanda pour les jeunes Églises 50 Bibles, c’est-à-dire des codices) ont contribué à son développement et à son succès.

Points marqués :

Le codex en parchemin part favori :

  • il est solide ;
  • il s’écrit des deux côtés, recto et verso ;
  • il est commode pour rechercher un passage ;
  • il est fonctionnel.

Un rouleau de papyrus

Un codex, ancêtre du livre actuel

Une bibliothèque ouverte contenant les
codices des quatre évangiles (mosaïque du
mausolée de Galla Placidia à Ravenne,
1e moitié du Ve siècle)

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