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PAOLA MORENO
Promoter and spokesperson
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pmoreno@uliege.be
Paola Moreno, professeure ordinaire
Professeur ordinaire de Langue et littérature italiennes, Paola Moreno est directrice porte-parole du projet EpistolART.
Sa formation de philologue et son expérience dans l’édition des correspondances italiennes en langue vulgaire de la Renaissance l’ont amenée à diriger les volets philologique et linguistique du projet.
Auteure de publications théoriques sur l’édition philologique des textes épistolaires, elle a organisé plusieurs séminaires et conférences portant sur la réflexion concernant les enjeux de l’édition digitale, sur les problèmes linguistiques et philologiques soulevés par l’édition critique de corpus hétérogènes, tant du point de vue chronologique, que de celui linguistique. Elle a conçu le protocole de transcription des lettres pour le projet EpistolART.
Dans le cadre d’EpistolART, elle dirige les recherches doctorales de Cristiano Amendola et de Claudia Marconato (en co-tutelle avec l’Université de Padoue), ainsi que les recherches post-doctorales d’Alessandro Aresti, Hélène Miesse, Gianluca Valenti. Avec Dominique Allart, elle co-dirige les recherches post-doctorales d’Antonio Geremicca.
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DOMINIQUE ALLART
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Tél. +32 (0)4 366 56 15
d.allart@uliege.be
Dominique Allart, professeure ordinaire
Responsable du service d’Histoire et Technologie des Arts plastiques (Temps modernes) de l’Université de Liège, et titulaire des enseignements relatifs à l’Histoire de l’art des Temps modernes et à la Technologie des arts plastiques, Dominique Allart est l’une des co-promotrices de l’action de recherche concertée EpistolART, aux côtés de Paola Moreno, Laure Fagnart et Annick Delfosse.
Co-fondatrice de « Transitions », Unité de recherches interdisciplinaires sur le Moyen Âge et la Première Modernité à l’Université de Liège, elle en a assuré la coordination générale et la gestion de 2010 à 2015.
Sa spécialité de recherche est l’art des XVe et XVIe siècles dans les anciens Pays-Bas et la Principauté de Liège. Ses travaux portent aussi sur les interactions entre ces régions et l’Italie, et sur la réception de l’art flamand en Italie. Pierre Bruegel l’Ancien et Lambert Lombard comptent parmi les artistes sur lesquels ils se focalisent principalement. Dominique Allart s’intéresse également aux conditions d’exercice de la profession d’artiste au XVIe siècle, ainsi qu’aux aspects techniques de la pratique picturale, tels qu’ils sont révélés par l’examen des œuvres mais aussi par l’étude des sources écrites.
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ANNICK DELFOSSE
Co-promoter
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adelfosse@uliege.be
Annick Delfosse, professeure
Responsable de la recherche et des enseignements en Histoire Moderne à l’Université de Liège depuis octobre 2009, Annick Delfosse est l’une des co-promotrices de l’action de recherche concertée EpistolART, aux côtés de Paola Moreno, Dominique Allart et Laure Fagnart.
Si ses travaux se déploient pour l’essentiel dans le champ de l’histoire religieuse moderne, Annick Delfosse a dirigé et dirige des recherches doctorales et post-doctorales portant sur des sujets autant politico-religieux que culturels. Elle a publié un ouvrage consacré à La « Protectrice du Païs-Bas ». Stratégies politiques et figures de la Vierge dans les Pays-Bas espagnols (Brepols, 2009) et s’est intéressée de près à l’histoire de la Compagnie de Jésus. Depuis plusieurs années, elle explore particulièrement le phénomène cérémonial tridentin, notamment dans ses formes spectaculaires et sensibles.
Au sein de l’équipe EpistolART, Annick Delfosse assure le développement de la base de données, en collaboration avec le Centre d’Informatique de Philosophie et Lettres (CIPL), et coordonne le travail des encodeurs-experts.
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LAURE FAGNART
Co-promoter
Tél. +32 (0)4 366 44 18
laure.fagnart@uliege.be
Laure Fagnart, chercheur qualifié du F.R.S.-FNRS
Docteur en Histoire de l’art de l’Université François Rabelais de Tours, Laure Fagnart est chercheur qualifié du F.R.S.-FNRS et maître de conférences de l’Université de Liège (service d’Histoire et Technologie des Arts plastiques, Temps modernes). Elle est l’une des co-promotrices de l’action de recherche concertée EpistolART avec Paola Moreno, Dominique Allart et Annick Delfosse.
Au sein du projet EpistolART, Laure Fagnart est attentive aux lettres qui évoquent Léonard de Vinci. La vie et l’œuvre du maître comptent en effet parmi ses champs de recherche, comme en attestent le livre qu’elle a publié en 2009, à propos de la réception française des œuvres de l’artiste toscan (Léonard de Vinci en France. Collections et collectionneurs. XVe-XVIIe siècles, Rome, L’Erma di Bretschneider, 2009) ou l’article intitulé « ‘Perché havemo bisogno ancora de maestro Leonardo’ : Léonard de Vinci au service de Charles II Chaumont d’Amboise », rédigé avec Hélène Miesse, qui a paru dans la revue Raccolta Vinciana en 2015 (fascicule XXXVI).
Parallèlement, Laure Fagnart contribue aux études dédiées aux relations artistiques et culturelles de la première Modernité en restituant les collections d’objets et d’œuvres d’art italiens que rassemblèrent, au nord des Alpes, mécènes, personnalités influentes et artistes du XVIe siècle. Les correspondances qui, dans les volumes de Gaye, font état de ces transferts entre l’Italie, la France et les anciens Pays-Bas suscitent donc également son intérêt.
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CRISTIANO AMENDOLA
Member
Cristiano Amendola, doctorant EpistolART
Doctorant EpistolART depuis janvier 2014, Cristiano Amendola est membre de l’équipe philologique du projet.
Diplômé, en 2009, de l’Université Federico II de Naples, avec un travail de fin de cycle en Histoire de l’art moderne intitulé Per un’interpretazione delle analisi radiografiche effettuate alla Flagellazione del Caravaggio, Cristiano Amendola s’est spécialisé dans la même université en 2012 en philologie moderne, avec un mémoire en philologie italienne intitulé Istanze macrotestuali nella lirica italiana delle origini – analisi micro e macrotestuale del Canzoniere di Nicolò de’ Rossi.
Ses intérêts de recherche principaux visent les aspects matériaux et paraghraphèmatiques des lettres d’artistes, en particulier celles de Giorgio Vasari.
Dans le cadre du projet EpistolART, Cristiano Amendola prépare une thèse de doctorat intitulée Facezie, arguzie e dettagli realistici: la dialettica tra stile basso e decus umanista nelle rappresentazioni e nella autorappresentazioni dell’artista nell’Italia quattro- e primocinquecentesca, sous la direction de Paola Moreno. Il a également rédigé, en collaboration avec Paola Moreno, Hélène Miesse et Gianluca Valenti, les critères de transcription des documents épistolaires.
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LUCIA AQUINO
Member
Tél. +32 (0)4 366 54 01
Lucia.Aquino@uliege.be
Lucia Aquino, doctorante non-FRIA
Diplômée en histoire de l’art de l’Université de Florence, Lucia Aquino collabore depuis 2014 avec le Projet EpistolART pour lequel elle est en charge du repérage et de la description codicologique des documents publiés par Gaye, aujourd’hui conservés dans divers dépôts d’archives d’Italie centro-septentrionale. Depuis le 1er janvier 2017, grâce à une bourse non-FRIA, elle est doctorante à l’Université de Liège où elle réalise, sous la direction de Dominique Allart, une thèse intitulée Sandro Botticelli et la marqueterie au temps de Laurent le Magnifique. Des arts mineurs aux arts majeurs et retour.
Lucia Aquino a mené des investigations dans les archives florentines pour le compte d’universités italiennes et étrangères, dont l’Université de Tokyo, pour laquelle elle a effectué, avec un financement de la Japan Society for the Promotion of Science, une recherche sur la formation des collections florentines d’art des grands-ducs (2011-2014). Elle a également collaboré avec les plus grands musées florentins pour la préparation d’itinéraires et le repérage de documents ; les résultats de ses recherches ayant abouti à des publications telles que les notices du Catalogo ragionato dei dipinti della Galleria Palatina di Palazzo Pitti (2014) et les Actes du colloque sur la Tribuna degli Uffizi (Firenze 2014), qui s’est tenu au Kunsthistorisches Institut in Florenz/Max-Planck-Institut (2012).
Spécialiste de la peinture florentine et d’Italie centrale des Quattrocento et Cinquecento, avec un intérêt particulier pour les rapports entre peintres et artisans du bois, Lucia Aquino est l’auteure d’un mémoire consacré à Giovanni di Lorenzo Larciani, partiellement publié dans le catalogue de l’exposition Francesco Granacci e Giovanni Larciani all’Oratorio di Santa Caterina all’Antella (Florence 2013). En lien avec ses centres d’intérêt, elle a en outre participé à diverses conférences et publié dans des revues spécialisées, des volumes collectifs et des catalogues d’expositions dont Perugino il divin pittore (Pérouse 2004) et Vasari gli Uffizi e il Duca (Florence 2011).
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ALESSANDRO ARESTI
Member
Alessandro Aresti, chercheur post-doc Marie Curie FP7-PEOPLE-COFUND-BEIPD
Docteur en histoire de la langue italienne de l’Université La Sapienza de Rome, Alessandro Aresti est adjunkt de langue italienne à l’Université du Dalarna (Suède) et, grâce à une bourse post-doc Marie Curie FP7-PEOPLE-COFUND-BEIPD (2015), chercheur à l’Université de Liège avec un projet d’édition et d’analyse linguistique de lettres d’artistes italiens des Trecento et Quattrocento.
Au sein de l’unité de recherche EpistolART, il participe à la préparation de la nouvelle édition des lettres du Carteggio de Gaye, en fournissant son expertise de linguiste et philologue.
Alessandro Aresti a conduit ses recherches sur les « volgari » italo-romans et sur l’histoire, même toute récente, de l’italien (il est membre du comité de rédaction de la revue spécialisée « LId’O. Lingua Italiana d’Oggi », Bulzoni). Ses recherches doctorales, en particulier, se sont centrées sur la lexicographie de l’italien médiéval dont les résultats ont été rendus disponibles à la communauté scientifique par le biais d’une base de données qu’il a constituée entièrement et dont il assure la gestion (Tesoro dei Lessici degli Antichi Volgari Italiani (TLAVI), [ISSN 2282-5932]).
Alessandro Aresti a enfin plusieurs expériences dans le domaine éditorial : il collabore avec des maisons d’édition prestigieuses telles qu’Arnoldo Mondadori Editore (en tant que coordinateur de la rédaction d’une grammaire italienne destinée aux étudiants du secondaire) et l’Istituto dell’Enciclopedia Italiana Treccani (il a été rédacteur en chef d’un ouvrage collectif paru en 2015, à l’occasion du 90ème anniversaire de l’Istituto).
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MARIAELENA BUGINI
Member
Mariaelena Bugini, chercheuse post-doc Marie Curie FP7-PEOPLE-COFUND-BEIPD
Docteur en histoire de l’art de l’Université François Rabelais de Tours et de l’Université de Genève mais aussi docteur en musicologie de l’Université de Turin, Mariaelena Bugini est actuellement post-doctorante Marie Curie BeIPD-COFUND-IPD au sein de l’unité de recherches Transitions de l’Université de Liège (2016-2018).
Spécialiste de la marqueterie de la Renaissance italienne, en particulier des chefs-d’œuvre de l’école olivétaine (cf. La musica di fra Giovanni da Verona, Paris, Classiques Garnier, 2014), Mariaelena Bugini s’est également penchée sur les transformations qui affectèrent le modèle italien des magistri perspectivae à l’occasion de sa migration en France au début du XVIe siècle (cf. « Les marqueteries de la chapelle Saint-Louis au château de Chantilly », dans Frédéric Elsig (dir.), Peindre en France à la Renaissance. Fontainebleau et son rayonnement. Actes du colloque international, Université de Genève, octobre 2011, Cinisello Balsamo, Silvana Editoriale, 2012, p. 170-183). Le projet de post-doctorat mené à l’ULg (Le lambris de la chapelle de la Bâtie d’Urfé, à la lumière de la correspondance de son commanditaire, Claude d’Urfé, supervisé par Laure Fagnart) porte sur les boiseries que l’italien fra Damiano Zambelli a exécutées vers 1547-1548 pour la chapelle de la résidence d’un amateur français : la Bâtie médiévale que Claude d’Urfé, ambassadeur du royaume de France au Concile de Trente, fait réaménager sous des formes renaissantes dans la région lyonnaise du Forez. Une attention particulière est portée à la correspondance de Claude d’Urfé, qu’il soigne surtout pendant ses missions en Italie (1546-1551), quand son travail de diplomate alterne à une activité de collectionneur, féru d’œuvres d’art italiennes. Mariaelena Bugini s’intéresse également aux mentions relatives aux arts dits « mineurs » présentes en nombre dans le Carteggio inedito d’artisti dei secoli XIV, XV e XVI de Johann Wilhelm Gaye, le noyau du projet EpistolART.
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ROSA DE MARCO
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rdemarco@uliege.be
Rosa De Marco, chercheuse post-doc Marie Curie FP7-PEOPLE-COFUND-BEIPD
Docteure en Histoire de l’Art moderne de l’Université de Bourgogne (2014), Rosa De Marco mène, depuis novembre 2015, ses recherches à l’Université de Liège grâce à une bourse postdoctorale Marie Curie FP7-PEOPLE-COFUND-BEIPD obtenue pour le projet : « Étude sur les mots de la fête jésuite en France au XVIIe siècle », supervisé par Annick Delfosse.
L’étude de la correspondance jésuite (XVIe-XVIIe siècle), point focal de son enquête, lui a permis d’approfondir l’apport de la pensée jésuite dans la culture artistique et du spectacle à l’époque moderne. Dans cette perspective, elle a souhaité intégrer le projet EpistolART afin d’appréhender le vocabulaire d’art (de l’inventio artistique aux matériaux de l’objet d’art) dans l’échange épistolaire entre acteurs classiques du phénomène artistique, à côté de l’investigation des traités d’art contemporains et des récits de fête.
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ANTONIO GEREMICCA
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antonio.geremicca@uliege.be
Antonio Geremicca, chargé de recherches du F.R.S.-FNRS
Docteur en histoire de l’art des Temps modernes de l’Université de Pise (2011), Antonio Geremicca est, depuis 2013, chercheur post-doc EpistolART après avoir conduit à l’Université de Liège, de 2013 à 2015, un projet intitulé Artistes, homme de lettres et secrétaires ducaux à la cour de Côme Ier de Médicis (1537-1554) grâce à une bourse Marie Curie FP7-PEOPLE-COFUND-BEIPD.
Spécialiste du maniérisme italien (Agnolo Bronzino, Pontormo, Rosso Fiorentino, Jacopino del Conte, Franceco Salviati), qu’il étudie à la lumière des relations entre artistes et écrivains, Antonio Geremicca est l’auteur d’une thèse publiée en 2013 par l’Université de Rome Tor Vergata sous le titre « La dotta penna al pennel dotto pari » : poesia e pittura nell’arte di Agnolo Bronzino. Il a par ailleurs contribué à différentes expositions dont Bronzino pittore e poeta alla corte dei Medici (Florence 2010) et Pontormo e Rosso. Le divergenti vie della Maniera (Florence 2014). Sa perspective méthodologique caractérise le livre Francesco Salviati « spirito veramente pellegrino ed eletto » (Rome 2016), dont il est éditeur.
Dans le cadre du projet EpistolART, Antonio Geremicca participe à l’édition des lettres du Carteggio de Gaye et travaille sur les apports de cette nouvelle édition pour l’étude de l’histoire et de la théorie de l’art italienne au Cinquecento. Il prépare, en outre, grâce à un mandat de Chargé de recherches du F.R.S-FNRS (2016-2019), une monographie sur Benedetto Varchi et les arts.
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HÉLÈNE MIESSE
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helene.miesse@uliege.be
Hélène Miesse, chercheuse post-doc EpistolART
Docteure en Langues et lettres (langue et littérature italiennes) de l’Université de Liège (2013), Hélène Miesse est chercheuse post-doc au sein d’EpistolART.
Philologue de formation, elle met au service du projet sa pratique des textes renaissants et son expérience en édition électronique pour la transcription des textes, leur insertion dans la base de données et leur commentaire. Elle a ainsi rédigé, avec Laure Fagnart, un article intitulé « ‘Perché havemo bisogno ancora de maestro Leonardo’ : Léonard de Vinci au service de Charles II Chaumont d’Amboise », paru dans la Raccolta Vinciana en 2015.
Hélène Miesse mène par ailleurs, en lien avec EpistolART et sous la direction de Paola Moreno, un projet de recherches intitulé Goro Gheri, un secrétaire au service de l’art. Celui-ci l’a amenée à organiser en 2015 deux colloques internationaux avec Antonio Geremicca « Être homme de lettres, secrétaires et politique culturelle au seizième siècle » et Gianluca Valenti « À la recherche de la norme, Arts et lettres dans l’Italie de la Renaissance ».
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GIANLUCA VALENTI
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gianluca.valenti@uliege.be
Gianluca Valenti, chargé de recherches du F.R.S.-FNRS
Docteur en Philosophie et Lettres de l’Université de Rome Sapienza (2012), Gianluca Valenti est chargé de recherches du F.R.S.-FNRS à l’Université de Liège (2015-2018).
Linguiste et philologue, Gianluca Valenti contribue à la réédition du Carteggio de Gaye et à l’étude linguistique des documents, il mène d’ailleurs un projet visant à l’analyse de la langue employée, dans leurs lettres, par les artistes florentins gravitant autour de la cour de Cosme Ier de Toscane.
Gianluca Valenti est entré dans l’équipe d’EpistolART alors qu’il était chercheur post-doc à l’Université de Liège grâce à un mandat Marie Curie FP7-PEOPLE-COFUND-BEIPD (2013-2015) qui lui a permis d’étudier le lexique médical de trois traductions en langues romanes de l’encyclopédie latine De proprietatibus rerum. Ses intérêts scientifiques touchent plusieurs domaines tels que la lexicographie, la littérature du Moyen Âge, l’histoire des sciences, la métrique et les sciences cognitives. À l’Université Catholique de Louvain, où il a été chercheur invité, il a entrepris l’édition d’un texte de chasse rédigé en italien du Nord par Battista Guarino, humaniste gravitant à la cour des Este au XVe siècle, qui a été publié en 2016 par Salerno Editrice.
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EVA TRIZZULLO
Collaborator
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eva.trizzullo@doct.uliege.be
Eva Trizzullo, collaboratrice
Diplômée en Histoire de l’Art et Archéologie à l’Université de Liège, Eva Trizzullo prépare un projet de thèse dans cette même université sous la direction de la Professeure Dominique Allart (ULg).
En 2016, elle a défendu un mémoire de master consacré au prélat et mécène Baldassarre Turini (Baldassarre Turini da Pescia, une vie au service de l’art. Le rôle et les contacts artistiques d’un familier des Médicis dans la Rome du Cinquecento), mettant en évidence son rôle d’intermédiaire artistique entre les Médicis et plusieurs artistes illustres commissionnés par la puissante famille florentine. Dans le cadre de son projet de doctorat, Eva Trizzullo compte s’intéresser à la figure du dataire apostolique sous le pontificat de Léon X et plus généralement au goût artistique des toscans présents à la cour pontificale. Acquise au principe d’un dialogue constant entre l’étude du contexte artistique et l’analyse des documents épistolaires, elle collabore à l’édition critique de plusieurs lettres destinées à intégrer la base de données EpistolART.
FRANÇOIS PUTZ
Collaborator
Tél. +32 (0)4 366 94 45
fputz@uliege.be
François Putz, informaticien
Informaticien au Centre Informatique de Philosophie et Lettres de l’ULg, François Putz est responsable de la conception et le développement de la base de données EpistolART.
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IRENE REGINI
Collaborator
Irene Regini, collaboratrice
Diplômée en philologie classique à l’Université de Pise et à l’École Normale Supérieure de Pise, Irene Regini a défendu en 2017 un mémoire de master consistant en l’édition critique des traductions latines du Nicocles et du À Nicocles d’Isocrate par l’humaniste italien Lapo da Castiglionchio il Giovane, dans le cadre de la fortune d’Isocrate et de la thématique de principe à la Renaissance.
Grâce à une bourse Erasmus Traineeship (2017-2018), elle collabore avec le Projet EpistolART, pour lequel elle est en charge de l’édition des lettres latines présentes dans l’anthologie de Gaye.
Elle travaille, en parallèle, comme professeur de latin et de grec dans l’école privée Schola Nova d’Incourt, et donne, avec deux collègues, un cours informel de latin vivant à l’Université Catholique de Louvain.
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CLAUDIA MARCONATO
Collaborator
Claudia Marconato, collaboratrice
Diplômée de l’Université de Padoue, Claudia Marconato est doctorante en cotutelle entre cette même université et l’Université de Liège, sous la direction des professeurs Paola Moreno (ULg) et Franco Tomasi (Unipd).
Après un mémoire en philologie italienne intitulé Misteri pagani ne «La Calandra» di Bernardo Dovizi, son projet de doctorat consiste en l’édition critique du recueil épistolaire de Sebastiano Erizzo, un écrivain vénitien du milieu du XVIe siècle, numismate, historien et philosophe, traducteur de Platon. En raison des affinités thématiques et méthodologiques entre sa thèse et le projet, elle collabore avec EpistolART pour lequel elle a édité plusieurs documents épistolaires qui seront mis en ligne dans la base de données EpistolART.
Claudia Marconato a en outre organisé le workshop « L’édition des textes épistolaires vulgaires à la Renaissance italienne » portant sur les normes de transcriptions des textes de la Renaissance italienne et participé à plusieurs colloques internationaux.